Nous avons vraiment vécu des jours difficiles, notamment avec la crainte de manquer de stocks d’oxygène dans de nombreux hôpitaux, mais beaucoup de villes ont repris leurs souffles comme Sousse par l’arrivée de 600 litres d’oxygène à l’hôpital de Sahloul mais la Tunisie est devenue producteur de l’oxygène grâce à la société El Fouledh de Menzel Bourguiba à Bizerte et la société “Airliquid“.

Malgré le travail acharné par la société civile comme ce que Nafastounes l’a fait en donnant le “ Nafas “ dont le peuple a besoin en vendant des œuvres d’arts, il’y a eu toujours un manque d’oxygène, c’est pour ça des Tunisiens ont fait des dons au lieu d’acheter des moutons.

Cet Aid était vraiment très exceptionnel en Tunisie surtout avec la crise de vaccination, mais comme toujours la société civile semble être notre seul espoir. Au centre de vaccination d’Ariana, les jeunes ont fait un travail remarquable et grâce à eux, la foule était bien organisée, respectant la distanction sociale et le protocole sanitaire, et la vaccination s’est faite rapidement et de manière fluide… En effet, l’impossible n’est pas tunisien et pour la première fois en Tunisie, Aziz Ammari a pu développer et publier un langage de programmation en Tunisie intitulé “Ncodi“. Et oui notre jeunesse ne cesse de répandre la joie dans nos cœurs et de nous honorer à l’intérieur et à l’extérieur de la Tunisie.

À l’ouverture des JO, Ines Boubakri la première athlète femme qui brandit la bannière tunisienne. Aux jeux olympiques, notre petit pays, la TUNISIE est classée 6ᵉ mondiale en nombre de médailles olympiques . La réponse à la créativité de la jeunesse tunisienne issue des Jeux Olympiques nous vient, avec Mohamed Khalil Jendoubi remportant la médaille d’argent en taekwondo, et Ayoub El Hefnaoui, qui a remporté la médaille d’or. Ces jeunes sont venus de Carthage, le plus ancien pays maritime de la Terre. Gràce à ces jeunes, notre précieux drapeau s’est de nouveau hissé dans le ciel de Japon .